Éditions les arènes
240 x 275 mm
32 pages – 12,90€
Traduction de Victoria Scoffier
Site officiel de Victoria Turnbull
Quatrième de couverture :
Pandora vit seule dans un monde en ruine.
Personne ne lui rend jamais visite, alors elle s’occupe comme elle peut, en réparant ce qui l’entoure.
Le jour où un oiseau tombe devant sa porte, le monde de Pandora commence doucement à changer…
Avis personnel :
Pandora est un magnifique album que j’ai adoré découvrir. La couverture m’avait tout d’abord attirée par l’impression de douceur qu’elle dégageait. Lorsque j’ai vu le livre en vrai, j’ai été émerveillée par l’objet. En effet, il possède une couverture en tissu, qui est très douce au toucher. De plus, elle donne un effet brillant qui se voit surtout dans le gris nacré. La première de couverture montre au centre la jeune Pandora, une renarde vivant seule dans une sorte de décharge publique, avec plein d’objets vieux ou abîmés autour d’elle. Elle est assise, souriante, avec un petit oiseau qu’elle recueille. Grâce à lui, son monde solitaire va changer. Cela se voit notamment sur la quatrième de couverture dont la page entière est recouverte de végétation excepté un petit encadré où figure le synopsis et quelques informations éditoriales obligatoires (code barre, prix).
L’intérieur de l’album est tout aussi réussi que l’extérieur. La construction n’est jamais similaire. Une illustration peut prendre une page pleine comme une double-page. Elle peut aussi figurer dans des cadres, avec un ou plusieurs par page, ou encore plusieurs images se succèdent sur la même page. Le texte est lui très court, une ou deux phrases maximum par page. Parfois, celle-ci commence et se termine sur une autre page. Les dessins sont réalisés au crayon et à l’aquarelle, ce qui donne un rendu très doux. Les couleurs utilisées sont dans des tons pâles, un peu passés, qui donnent une impression d’intimité. Plusieurs pages fourmillent de détails à observer, d’autres sont des gros plans, mais toutes les pages sont sublimes à contempler.
L’histoire m’a tout autant plu que le graphisme. Pandora est une renarde vivant seule dans un monde en ruines. Elle récupère des objets qu’elle raccommode ou utilise d’une autre façon pour se construire son chez elle. Un jour, elle recueille un oiseau blessé. Elle le soigne et quand ce dernier s’envole, il revient toujours. Jusqu’au jour où il ne revient plus ; ce qui la plonge dans une tristesse incommensurable. Mais le monde continue de tourner et de prendre des couleurs. L’album délivre un joli message d’amitié et d’espoir, sous fond de cycle de temps et d’écologie.
En résumé :
Pandora est un magnifique album, tant par son récit que par ses illustrations, qui délivre un joli message d’amitié et d’espoir, sous fond d’écologie.
Ooh, je l’ai aussi cet album, je l’aime beaucoup ! Par contre je l’ai en VO et je suis déçue parce que ma couverture (une « soft cover » classique) n’est pas du tout celle en tissu que tu décris ! :p
Oh je suis sure qu’elle est jolie aussi ! Même si je t’avoue avoir été agréablement surprise (même excitée XD) de voir qu’elle était en tissu soyeux quand j’ai reçu l’album. 😛
Ohhh comme ça a l’air joli ! (et wouhou Patrick ! Cela faisait longtemps que je ne l’avais pas vu :’D Je comptais revoir Dr House pour mon « bruit de fond » du moment, mais Patrick Jane est une bonne idée aussi :O Après, sans doute ! J’ai toujours besoin d’un truc qui tourne et que j’ai déjà vu^^)
Anyway, le livre a l’air super joli, j’aime beaucoup le style du dessin (j’en ai googlé d’autres, aussi) et ce que tu en dis. Et je retiens du commentaire de SALT que si je veux l’acheter, c’est mieux en VF !
Ah Jane ! ❤ C'est une bonne idée Mentalist ! Tu ne l'as pas fini en plus me semble-t-il ? Les deux sont de bonnes idées ! 😀
Oui, j'adore le style d'illustration. 🙂 J'espère qu'il te plaira si jamais tu le lis.